Une grande partie a été examinée sur Obamacare et son impact sur l'américain moyen. Analyse, de débats et de conférences ont déterminé les avantages et les inconvénients de l'application de la Loi. Alors qu'un examen profond niveau a été effectué sur ses différents aspects, pas grand chose a parlé médecins et médecins et l'impact de l'adoption de la Loi sur eux.
Médecins et médecins forment le public de base affecté par la mise en œuvre de la Loi. Administration et la prestation des soins étant la responsabilité directe de ce public particulier de l'Amérique, il est impératif que leurs points de vue sont inculquées dans l'ensemble du processus. Malheureusement, ce public particulier n'est pas totalement à l'aise avec la mise en œuvre de la loi en raison de certaines lacunes qui pourraient le déplacer certains coûts de soins aux patients directement sur eux.
Certains médecins ont souligné que l'Obamacare permet des soins aux patients sans couverture. Supposons une personne omet de payer sa prime d'assurance et est dans la période de grâce de trois mois avant ses défaillances de la politique. L'assurance est valable uniquement pour le premier mois de la période de grâce, après lequel il n'existe aucune couverture étendue à ce dernier. Dans ce cas, si un patient subit le traitement au cours du deuxième ou troisième mois, il serait tenu de payer la facture ou la prime d'assurance. Toutefois, s'ils ne font pas ou l'autre des paiements, le coût du traitement tomberait sur le soignant alors que le patient serait encourir une pénalité fiscale mais aucune amende ou paiement de majoration. Ils seraient même éligibles pour l'achat d'un autre régime. Dans un tel cas, la personne soignante serait un désavantage financier.
Il est à noter que la clause ci-dessus de grâce de trois mois a été créée pour aider les groupes à faible revenu qui pourraient être confrontés à des problèmes temporaires en raison de n'importe quelle raison. Toutefois, il est tout à fait possible que certaines personnes pourraient penser d'abuser de cette échappatoire à leur avantage. Dans ce cas, le fardeau de la preuve de la diligence affecterait considérablement les médecins.
Seulement deux options viables à l'heure actuelle comprennent action et évaluation. Une sorte d'action est la nécessité de l'heure, c'est par le biais de l'évaluation de la loi qu'une solution permanente peut être établie. Car pas beaucoup de médecins connaître cette lacune flagrante, le mot devrait être la première priorité. Avec une partie substantielle des médecins connaissant cette lacune, on peut faire un effort coordonné pour l'évaluation et la modification de la Loi.